« Prends en de la Graine »

•• S. - Tu as vu ?
A. - Tu parles de quoi ?
S. - La fille là bas, regarde son sac ...
A. - Ah ouais, en effet.
S. - Elle n’a pas compris que cette couleur est dépassée depuis plus d’un mois ?
A. - C’est vrai que ça fait pitié. ••


Ce n’est qu’un murmure. Il y a bien sur, toutes sortes de chuchotements. Les mots doux, les conspirations, les potins, les hypocrisies. Ces deux filles, sont sur un banc de l’université, et parlent d’une fille, qu’elles n’ont certainement jamais vue; qu’elles ne connaissent pas, et qui n’ont rien d’autre à faire, que de la juger sur son apparence. Ou, plutôt de ce qu’elle a. Pour elles, avoir un sac démodé est la plus grande des hontes. Jamais ça ne leur arriverait.

New York ? Vous avez dit New York ? C’est bien dans la grande pomme que nous avons la chance de vivre. En effet, qui n’a jamais rêvé d’y venir, pour y travailler, y devenir une grande actrice à Broadway, ou tout simplement pour voir. Voir, si sa légende est vraie. Pour vérifier, si c’est aussi beau que dans les revues ou dans les films. Vérifier, que Central Park soit aussi lumineux que l’on puisse le prétendre, que les taxis soient bien jaunes, ou encore approcher les grattes ciel. Si la Statut de la Liberté est bien là. C’est ce qu’inculque New York, le rêve. C’est fascinant pour le monde entier. Et encore plus passionnant, ses habitants. Ceux du côté de Manatthan surtout. Habitants des quartiers les plus chics, fréquentant les écoles les plus sélects, et les boites de nuit les plus convoitées.

C’est dans l’université de Columbia, que nous nous intéressons d’avantage. Et plus particulièrement à ses étudiants. Un bon nombre d’entre eux, y sont arrivés, par une façon classique et difficile, qui est simplement de travailler. Ces jeunes personnes peuvent être fières de ce qu’elles ont pu accomplir, car ici on ne plaisante pas sur ces choses là. Il y en a d’autres, qui ont des facilités intellectuelles, et qui en faisant très peu d’efforts réussissent à l’intégrer. On ne peut pas leur jeter la pierre pour cela, mais il est vrai que ça a le don d’en désespérer certains. Encore d’autres, n’ont pas un niveau si impressionnant, mais leurs forces de caractère, leur envie, et leur détermination font qu’ils ont leur place aussi. Et il y a aussi, ceux qui sont pris automatiquement, les enfants de riches. Ne vous y méprenez pas, il n’y a pas que l’argent qui rentre en compte. Mais le personnel, trouve agréable que leur école soit sollicitée, par des personnes connues ou du moins fortunées.

Mais sachez qu’à Columbia, ce n’est pas le travail qui est le plus visé. C’est la vie des étudiants. Quand plusieurs personnes, jouent aux reporters secrets et se font la guerre, ça crée des étincelles. Deux GG, deux sites, une rivalité. Celle de faire le plus de ravage possible.

Entrez dans une course effroyable, une course à la popularité. Certains ont le pouvoir, d’autres subissent, les conséquences.
Nos étudiants, sont très Rock n’ Roll. Il arrive souvent de retrouver de la poudre blanche, sur les tables de chevet, des bouteilles, des anti-depresseurs. Des préservatifs, pour les plus prudents. L’amour; l’amitié, la trahison, le sexe et le pouvoir. De simples mots, qui bouleversent leur vie.

New York, est un un lieu de rêves, et surtout de jeux, auquel il est difficile d’arrêter. Il n’y a pas de limites, ici tout peut arriver. Mais, il faut faire attention, les apparences sont trompeuses, et les rêves parfois brisés.

Enjoy Baby !!

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SAYID : « Maday maday ! Notre avion viens de s'écraser sur une île déserte ! »
Cher journal. Je suis sur une île déserte, ou je viens de me crasher en avion. J'étais sur le vol Oceanic 815. J'espère vraiment que les secours vont bientôt arriver, car même si on venait d'arriver sur cette île, j'en avais déjà marre. J'avais peur, comme tous ceux qui s'étaient crashés avec moi aujourd'hui. Malheureusement, pas tout le monde n’était arrivé à survivre. Sur les 324 passagers, nous n’étions que 48 survivants. Heureusement pour nous, il y avait Jack, un médecin, qui pouvait d’occuper de nous en cas de besoin, il était vraiment sympa.

JACK : « Tu nous à construit un parcours de golf ? »
HURLEY : « Bah ouais, j'me suis dit que c'était un bon moyen de... décompresser ! »
Tout à changé sur l’île. Plusieurs couples se sont formés, dont Claire et Charlie, même s’ils avaient vécus des hauts et des bas, comme dans toute relation en fait. Des personnes pourtant opposées s’étaient au fur et à mesure rapprochées. Nous avons réussis, toujours ensemble, à passer les pires épreuves sur cette île. On se faisait attaquer par des sangliers, une fumée noire, et des gens qui habitaient déjà sur l’île. Ils avaient d’ailleurs enlevé plusieurs d’entre nous. Heureusement, ils sont revenus saint et sauf quelques jours plus tard. Hurley nous avait même confectionné un petit parcours de golf pour se détendre un peu, si c'est pas génial...

JACK : « Je suis un survivant du vol Oceanic 815, vous pouvez arriver à nous localiser ? »
MINKOWSKI : « Bien sûr qu'on peux vous localiser ! Bougez-pas, on arrive. »
On allait peut-être enfin quitter cette île ! Jack, notre leader sur l’île avait réussi à contacter un bateau qui se trouvait à proximité de l’île grâce à un radio téléphone qu’avait amené une jeune femme, Naomi, qui s’était parachutée sur l’île. Mais certains d’entre nous pensaient que les gens qui allaient venir nous sauver n’étaient pas ce qu’ils disaient, qu’ils représentaient une menace. Je ne savais pas quel camp choisir, celui de Jack qui restait sur la plage, ou celui de Locke qui partait se cacher aux baraquements ?

KATE : « Regardez ça, qu'est-ce que c'est ? »
SAWYER : « Bon dieu d'merde, un autre avion... »
Eh bien non, on était toujours sur cette foutue île maudite ! Alors que le bateau se rapprochait, un nouvel avion venait se crasher sur l’île, faisant exploser le bateau, notre seule chance de retour à la vie normale. Comme si l’île ne voulait pas nous laisser partir. Mon dieu, je crois que je deviens fou. Le téléphone ne nous servait plus à rien. On pouvait peut-être le bidouiller pour essayer d’envoyer un message, mais c’était peine perdue. Nous allions devoir continuer à vivre sur cette île, mais cette fois avec des colocataires !